Elle est maintenant coupée en deux, une partie « atelier » et le reste en « garage à outils de jardin ».
Mais il y avait un passage au niveau de l’étage, surement crée il y a longtemps avec juste un petit seuil qui reliait l’écurie à la grange au niveau des fenils.
Les murs, restés bruts de découpage, se fendent dangereusement.
Il fallait stopper cette fissure, consolider puis laisser ce trou ou le boucher… La décision fut vite prise, comme nous n’avons pas envisagé de porte à cet endroit, on rebouche.
Trois moellons, un coffrage, de la chaux et c’est parti.
Au fur et à mesure que l’on remonte, on fait tomber tout ce qui bouge.
Voilà où nous en sommes à ce jour, toujours plus haut, sur un échafaudage de fortune.
La suite très bientôt.